Vous êtes ici

Les 7 critères pour bien choisir son école d'effets spéciaux

Les écoles d'effets spéciaux sont nombreuses, publiques ou privées. Face à cette concurrence, le choix n'est pas évident pour un étudiant qui vient d'avoir son bac ou qui souhaite opérer un changement d'orientation. Qu'il s'agisse d'un cursus post-bac, vous devez vous appuyer sur des critères objectifs. Parmi ceux-ci, le contenu de la formation, la qualité des outils et équipements mis à disposition et les partenariats professionnels semblent prépondérants.

1. L'école propose-t-elle des formations reconnues (bachelor ou mastère notamment) ?

Le secteur des effets spéciaux offre de nombreux débouchés. Les artistes du VFX, les effets visuels numériques, sont en effet très sollicités.

Le cinéma, la télévision, la publicité ou les jeux vidéo font régulièrement appel à leurs compétences.

Les écoles d'effets spéciaux se multiplient, mais il importe de s'assurer que les formations proposées soient reconnues.

Les étudiants post-bac peuvent intégrer un bachelor. Le cursus dure trois années.

Une formation Animation 2D/3D constitue une bonne option. Toutefois, le bachelor VFX proposé par LISAA est particulièrement indiqué.

Ce cursus permet d’obtenir le titre de "Concepteur en animation et effets spéciaux numériques". Il s'agit d'un titre de niveau 6, enregistré au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). L'étudiant peut approfondir ses compétences en poursuivant avec un mastère en deux années.

Bac+3 / Titre RNCP niv. 6

Bachelor VFX

2. La formation aborde-t-elle tous les aspects des métiers de l'animation ?

L'intégration d'effets spéciaux numériques mobilise de très nombreuses compétences. Il faut bien sûr une fibre artistique et créative. La maîtrise technique s'avère essentielle, notamment de l'animation 2D et 3D. Les effets générés doivent être parfaits pour que la séquence conserve toute sa cohérence aux yeux des spectateurs. Enfin, la rigueur et l'organisation sont essentielles, notamment pour la réalisation du storyboard. La capacité à bien travailler en équipe doit également faire partie de l'enseignement.

Une bonne école doit permettre à l'étudiant de travailler tous les aspects de ce métier.

D'un point de vue théorique avec de l'histoire de l'art et du cinéma, du character design ou de l'analyse de l'image, par exemple.
D'un point de vue purement technique avec la maîtrise des techniques et outils spécifiques à la conception, la création et l'animation d'effets spéciaux (création des assets, intégration visuelle, etc.).
D'un point de vue professionnel avec le montage et la postproduction (compositing, rotoscopie, colorimétrie, cohérence visuelle, etc.).

3. L'enseignement de l'école s'appuie-t-il sur des outils et des logiciels professionnels ?

La création d'effets spéciaux numériques, que ce soit pour le cinéma, le jeu vidéo ou la publicité, nécessite une parfaite maîtrise des logiciels professionnels les plus récents. Il est important de s'assurer que les outils, équipements et logiciels essentiels soient bien mis à disposition des étudiants par l'école d'effets spéciaux.

Compte tenu de l'évolution technique rapide, ces outils et logiciels peuvent changer rapidement. Les logiciels Houdini, Nuke, Maya, Substance 3D Designer ou Unreal Engine (moteur utilisé par de très nombreux jeux vidéo) s'avèrent incontournables. L'école d'effets spéciaux doit aussi disposer d'un studio fond vert, d'une salle pour la motion capture, d'un studio son, etc.

4. Les étudiants trouvent-ils facilement un emploi à l'issue de leur cursus ?

La question de l'insertion professionnelle s'avère primordiale. La qualité d'une formation ne se mesure pas seulement à celle de ses cours ou de ses enseignants. La plus-value d'une école réside aussi dans la rapidité avec laquelle ses étudiants trouvent un emploi.

Le secteur des effets visuels se montre particulièrement dynamique. Entre 2011 et 2020, le nombre d'entreprises françaises de VFX a progressé de 20 %.

Les artistes VFX sont très recherchés par l'industrie cinématographique, comme par l'industrie vidéoludique. Les offres d'emplois sont donc fréquentes, avec une forte tendance à la féminisation du métier.

5. L'école d'effets spéciaux propose-t-elle des spécialisations ?

Le bachelor Animation 2D/3D constitue une base commune aux métiers de l'animation numérique.

De nombreuses spécialités existent au sein de cette famille de l'animation. La qualité d'une école peut aussi se mesurer à la diversité des formations proposées. L'objectif est que chaque étudiant suive le cursus qui lui convienne vraiment.

Certaines écoles sont davantage spécialisées dans l'animation 2D, d'autres dans l'animation 3D. Il est d'ailleurs possible de s'inscrire à des bachelors spécifiques. Pour les étudiants souhaitant travailler dans l'univers des jeux vidéo, il existe des formations générales ou plus orientées, sur le game design par exemple. L'école LISAA propose par exemple des formations spécifiques en animation 2D/3D pour les jeux vidéo.

6. La formation dispose-t-elle de partenariats d'entreprise avec des professionnels ?

Une bonne école d'effets spéciaux doit proposer à ses étudiants de véritables projets professionnels. Cela peut prendre la forme d'une alternance, de stages obligatoires ou d'un partenariat avec une entreprise. La possibilité d'effectuer un stage à l'étranger constitue également un vrai plus.

Ces projets permettent notamment à l'étudiant de développer son portfolio. Il va également en profiter pour mettre en application les compétences acquises au cours de sa formation. Une première expérience professionnelle constitue souvent un marchepied vers l'emploi.

7. Quel est le coût de la formation pour un étudiant post-bac ?

Le coût de la formation vfx dispensée par l'école d'effets spéciaux constitue le dernier critère. Le montant varie selon les écoles, leur localisation et leur statut (privée ou publique). De quelques centaines d'euros à plusieurs milliers par année d'études, la fourchette est large.

Toutefois, un certain nombre de dispositifs peuvent contribuer au financement (bourses, prêts étudiants, etc.). Compte tenu de la très bonne insertion des artistes VFX sur le marché de l'emploi, le coût des études constitue un investissement profitable.

Le choix d'une bonne école d'effets spéciaux doit se fonder sur des critères objectifs. L'existence de passerelles réelles entre l'école et le monde de l'entreprise constitue une garantie de professionnalisation rapide.

La qualité des logiciels techniques et des équipements assure à l'étudiant de se former sur des outils réellement utilisés par les professionnels VFX.

Pour découvrir le bachelor VFX proposé par l'école LISAA (reconnue par le ministère de la Culture), n'hésitez pas à télécharger la brochure détaillée.